Khadidiatou (centre de tri de Diamniadio – tri pantalons)

Au début, c’était difficile. Mais au fil du temps, nous avons pu constater l’impact positif que ce projet a eu sur la vie de chacun d’entre nous. Nos conditions de vie ont changé en mieux, ce qui constitue la récompense aux efforts consentis tout au début. Lors de notre dernière réunion générale, Ahmad nous a fait part des obligations auxquelles le Relais Sénégal doit faire face tous les quinze jours pour payer les charges de dédouanement. Si on pouvait vraiment trouver une solution à cette question, ce serait un plus pour nous tous. Par ailleurs, je trouve l’idée d’un centre d’alphabétisation très pertinente. J’apprécie surtout l’appui que nous accorde notre Relais dans la prise en charge scolaire de nos enfants.



Mme Henriette Dione (présidente des groupements des femmes à Térokh)

Je remercie le Relais Sénégal et l’ensemble des travailleurs du centre de tri de Diamniadio pour leur soutien et tout ce qui a été fait ici dans le cadre du projet maraîcher. Ce projet a totalement changé nos conditions de vie, surtout pour nous les femmes du village qui avions l’habitude de nous rendre à Tivaouane  pour faire le linge dans des conditions extrêmement difficiles. Or, depuis que le projet est là, non seulement les femmes travaillent sur le périmètre, mais elles s’activent aussi dans la commercialisation des produits générés par l’activité maraîchère. Mieux encore, nos jeunes qui avaient l’habitude de s’exiler à Dakar pendant la saison sèche sont pratiquement tous rentrés au village grâce à la présence de ce projet qui constitue une véritable aubaine pour notre village de Térokh.

 

M. Samba Faye (chef de village de Térokh)

Je rends grâce à Dieu qui a inspiré le Relais Sénégal et ses travailleurs en les orientant chez nous. Je vous serai reconnaissant toute ma vie durant. En permettant aux lycéens de travailler pendant les vacances scolaires, le projet nous a enlevé, à nous les parents, une grosse épine du pied. Le casse-tête des fournitures scolaires à payer est devenu un mauvais souvenir ces deux dernières années. Les conditions de vie de la population ont connu une nette amélioration. Le projet maraîcher est une fierté, non seulement pour Térokh, mais aussi pour toute la région de Thiès.

 

 

M. François Tine (directeur de l’école privée catholique de Yendane)

Etant étranger aux villages de Yendane et Térokh, je suis bien placé pour apprécier l’impact de ce projet sur la vie de la population. L’année passée, j’ai fait l’heureux constat qu’aucun élève n’avait fait l’objet de renvoi pour défaut de paiement des droits d’inscription. Cela traduit à mon avis une nette amélioration des sources de revenus des parents d’élèves qui ont pu faire face aux charges de scolarisation de leurs enfants. Contrairement aux années précédentes où de nombreux enfants étaient contraints de rester à la maison faute de moyens financiers de leurs parents. Je salue donc les initiateurs de cet important projet dont l’impact sur la vie des populations est indéniable. Je prie pour sa pérennisation et encourage ses initiateurs à maintenir le cap.



Demba, père de 5 enfants (centre de tri de Diamniadio – presse)

Le programme de l’Espoir d’un Toit constitue pour nous une aubaine puisque cela faisait des années qu’on cherchait une parcelle d’habitation sans y parvenir. Grâce à ce programme, nous voyons finalement nos rêves de disposer d’un toit devenir réalité. Je tiens à remercier personnellement le Relais Sénégal pour cette initiative qui vient vraiment à son heure.

 



 

Brigitte, mère de 3 enfants (centre de tri de Diamniadio – tri sport) 

Quand j’ai eu besoin de faire des travaux de réfection chez moi, j’ai pu bénéficier du crédit « Espoir d’un Toit ». Ainsi, j’ai pu réhabiliter ma cuisine et ma salle de bain. Même si les travaux ne sont pas encore terminés, je trouve que c’est une excellente idée de permettre aux travailleurs de pouvoir disposer de moyens leur permettant de se faire une maison. Je prie pour l’ensemble du personnel ainsi que pour les initiateurs du projet qui ont pensé à un programme de ce genre.

 

 

 

Louise, mère de 5 enfants (centre de tri de Diamniadio – pavé de pré-triage)

L’Institution de Prévoyance Maladie convient aux personnes comme moi. Récemment, lorsqu’une de mes jumelles est tombée malade, c’est grâce à la mutuelle de santé que j’ai pu faire face aux dépenses liées à sa prise en charge. Maintenant, je peux me rendre à la pharmacie, prendre ses médicaments sans bourse déliée. Je suis très reconnaissante vis-à-vis du Relais Sénégal pour cet appui qui nous est accordé à travers la mutuelle.